Après l’interdiction au Liban de la diffusion le 1er juin de Wonder Woman et la déprogrammation du film, dimanche, d’un festival à Alger, la diffusion de Wonder Woman, incarnée par l’actrice israélienne Gal Gadot a été « suspendue » par la justice tunisienne ce mercredi, dans l’attente de l’examen d’une demande d’interdiction introduite par le parti nationaliste Al-Chaab.
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L’avant-première du film, prévue mercredi soir dans un cinéma du centre de Tunis, avait déjà été purement et simplement annulée et le blockbuster était programmé à partir de jeudi après-midi dans au moins deux cinémas, à Tunis et à La Marsa, en banlieue nord de la capitale tunisienne. Le distributeur Lassaad Goubantini, a dénoncé une censure auprès de l’AFP : « C’est une décision qui se base sur des accusations bidon. […] Aujourd’hui, ils empêchent un film à cause d’une actrice, demain ils inventeront une autre excuse, c’est une atteinte aux libertés ».
De son coté, le parti Al-Chaab qui s’est félicité de cette suspension, a déclaré dans un communiqué : « Il faut poursuivre la mobilisation sur ce type d’affaire, comme sur tout ce qui touche à la normalisation avec l’entité sioniste ».
Tel-Avivre – la rédaction
pauvres tunisiens ils étaient heureux avec ben Ali maintenant plus rien a manger plus de touristes plus aucune liberté pour les femmes eh bien je dis vive les religions
[…] le 1er juin de Wonder Woman, la déprogrammation du film d’un festival à Alger et enfin la suspension de Wonder Woman, incarnée par l’actrice israélienne Gal Gadot par la justice tuni… on s’attendait au pire en Jordanie mais après beaucoup de tergiversations, le Royaume a […]
[…] les cinémas tunisiens. Le film devait être projeté à deux endroits à Tunis au début juin mais les projections ont été suspendue à la suite d’une plainte du parti nationaliste […]
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