La campagne BDS, pour le boycott des produits israéliens en provenance des territoires occupés, a-t-elle pour seul objectif le soutien au peuple palestinien ou au contraire, cache-t-elle une revendication bien plus inavouable : la disparition pure et simple de l’Etat d’Israël. Pour Martine Gozlan, rédactrice en chef à Marianne, « le boycott d’Israël est le lieu où se hurlent les non-dits » avec des militants qui réclament « une Palestine non pas aux côtés d’Israël, mais à sa place ».
La cause palestinienne est devenue depuis bien des années le prête-nom et l’exutoire de passions douteuses en quête de respectabilité. La campagne pour le boycott d’Israël, appelée BDS – boycott, désinvestissement, sanctions -, incarne le dernier avatar de cette prétendue solidarité avec un peuple dont, par ailleurs, les faux amis n’ont jamais défendu les vrais héros : ces Palestiniens patriotes et démocrates, cibles de l’intégrisme, désormais condamnés au silence, comme le philosophe Sari Nusseibeh.
Il est même probable que ce nom, ou celui de son ami disparu, l’immense poète Mahmoud Darwich, qui voyait grandir comme un cauchemar la terreur du Hamas, n’évoquent à peu près rien pour les foules disparates régulièrement occupées à conspuer Israël, traité comme le premier, voire le seul prédateur de la planète. L’ancien président Shimon Peres, Nobel de la paix 1994, le rappelait douloureusement il y a quelque temps : « La focalisation sur Israël, alors qu’il y a tant de zones de conflits ultraviolents dans le monde, est un révélateur des intentions des promoteurs du boycott. Ses animateurs ne sont ni neutres, ni objectifs et ils ne connaissent pas les faits.«
Une jeune journaliste israélienne, Adi Cohen, a voulu en avoir le cœur net. Elle a assisté aux manifestations qui ont étayé la Semaine de l’apartheid organisée en février dernier à Londres. Soit dit en passant, le terme d' »apartheid », utilisé de façon récurrente contre Israël, assimilé à l’Afrique du Sud d’hier, est contesté par les plus légitimes et les plus critiques de ses citoyens arabes. Par exemple, le député Ayman Odeh, chef de la Liste arabe unie qui constitue une force d’opposition importante à Netanyahou. Mais revenons à Adi Cohen et à sa traversée londonienne du BDS. Elle y a vu « des centaines de militants, furieux, appeler à une Palestine libre de la rivière à la mer ». Du Jourdain à la Méditerranée : soit une Palestine non pas aux côtés d’Israël, mais à sa place. Avec à l’appui des cartes géographiques intégrales imprimées sur les tee-shirts. Elle y a entendu des orateurs évoquer « des prélèvements d’organes » sur les corps des Palestiniens retenus par Israël. On sait que ces rumeurs alimentent l’énorme déversoir de haine sur le Net, Israël concentrant sur son seul nom des millions d’interventions hystériques. Ces horreurs étaient, à Londres, accueillies sans broncher : sur l’Etat hébreu, il est désormais possible de tout dire, de tout écrire, de tout vomir à l’ombre du pseudo-humanisme BDS.
Selon la cruelle logique comportementale de l’humanité, les routes de la haine sont aussi vastes qu’est étroite la porte de la sagesse. En conséquence, la campagne du boycott croît et multiplie. Elle prétend sanctionner uniquement les produits des colonies de Cisjordanie : en réalité, elle ne dissimule même plus son boycott général de l’Etat, des relations commerciales, universitaires, scientifiques et culturelles avec ce pays paria. Pour cette raison, la campagne BDS est interdite en France, où elle jetait de l’huile sur le feu des violences antisémites. Il faut s’interroger pourtant sur son succès auprès des opinions publiques occidentales, sur sa capacité d’influencer les organisations internationales. Le boycott d’Israël est le lieu où se hurlent les non-dits.
Source Marianne
pourquoi ‘écrire territoire occupé’ pour la Judée Samarie, alors que la France écrivait en 1941,à ce propos
« Les groupements de travailleurs étrangers (GTE)
En application de l’article 1er de la loi du 27 septembre 1940,
relative aux groupements de travailleurs étrangers, « les étrangers de sexe
masculin, âgés deplus de 18 ans et de moins de 55 pourront aussi longtemps
que les circonstances l’exigent, être rassemblés dans des groupements
d’étrangers s’ils sont en surnombre dans l’économie nationale et si,
ayant cherché refuge en France, ils se trouvent dans l’impossibilité de
regagner leur pays d’origine.
Sous réserve des formalités réglementaires, ils conservent la faculté d’émigrer
dans un pays étranger ».
Les groupements sont donc constitués d’étrangers résidant en
France, appartenant à plusieurs nationalités, des Espagnols notamment.
Des Juifs étrangers y seront eux aussi incorporés. Dans ce cas, les GTE
ont pu constituer un vivier où les occupants et Vichy ont eu la possibilité
de puiser pour remplir les camps de concentration.
Le sort des Juifs
Le 2 janvier 1942, le gouvernement de Vichy décrète que « tous
les Juifs résidant sur l’ensemble du territoire et entrés en France après le 1er
janvier 1936 seront, selon les cas, groupés dans des Compagnies de Travailleurs
Étrangers ou dans des Centres spéciaux. Cette mesure vise non
seulement les Israélites étrangers, mais encore ceux qui, depuis leur
arrivée dans notre pays, y ont acquis notre nationalité ». Cette mesure
s’appuie sur la loi citée ci-dessus.
Dans la zone libre, les instructions du 2 janvier 1942, signées par
le ministre de l’Intérieur, G. Pucheu, sont extrêmement précises. Le
recensement des intéressés et de leurs familles est effectué sous peine de
sanctions rigoureuses. Il est expressément indiqué que « les Israélites visés
ne doivent pas être placés dans des Compagnies « diffuses » mais dans des
groupes homogènes ». Immédiatement après, le 10 janvier 1942, le colonel
Tavernier, chef du Service national des formations d’étrangers donne des
directives aux chefs de groupement : « Les groupes encadrés palestiniens
seront composés uniquement de Palestiniens. Ces groupes sont, soit existant
déjà, soit à créer. Chaque groupement me fera d’urgence des
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étude sur la spoliation des Juifs de France ; présidée par
Jean Mattéoli ; Serge Klarsfeld, André Delahaye, (et al.)
propositions, compte tenu de ce que l’effectif d’un groupe encadré ne
devra pas être de plus de 300. »
Ainsi, les autorités vichystes ont recensé les Juifs étrangers, les
ont regroupés eux et leurs familles, les ont contrôlés, les ont fait travailler
sous surveillance policière et les ont gardés à leur disposition dans ces
groupes palestiniens dont la formation a concentré les menaces sur ceux
qui en faisaient partie. Un rapport de la Commission des camps indiquera
d’ailleurs incidemment :
« Des Groupes de » Palestiniens » ont été créés. La création de ces
groupes palestiniens, parfois appelés » Groupes juifs homogènes » nous
donne les plus vives inquiétudes, l’expérience nous ayant prouvé que les
dits groupes juifs homogènes sont très souvent en fait de petits camps de
concentration infernaux et dont on ne sort pas. »
Les conditions particulières des Juifs
La particularité des GTE est le régime disciplinaire plus que draconien
qui en fait un véritable camp de travail. Certains camps ont même
adopté un régime d’une extrême dureté. Le groupe de travailleurs étrangers
de Ruffieux est de ceux-ci. Un dénommé Max Meyer qui se trouve
au camp écrit au Comité International de la Croix-Rouge à Genève le
15 mars 1942 pour dénoncer les conditions de vie :
« Lesoussigné, formant partie du Campde travailleurs étrangers
à Ruffieux (Savoie) uniquement réservé aux israélites victimes des idéologies
racistes, désirerait par la présente porter à votre connaissance les
conditions arbitraires, vexatoires et inhumaines, auxquelles sont soumis
un groupe d’environ 150 hommes.
Administration générale.
Le camp de Ruffieux, qui fut déjà mal dirigé l’année dernière,
vient de se trouver en face de changements depuis la mi-février qui en ont
fait une sorte de bagne. Tandis qu’auparavant les membres du groupe,
tout en étant affectés à un travail journalier, possédaient certaines libertés
de circulation qui leur permettaient de se ravitailler à leur propre
compte auprès des fermiers du canton dans la mesure du possible – et la
population rurale, dans sa forte majorité, ne leur est point hostile – les
nouveaux dirigeants en fonction depuis la mi-février nous ont contraints
à abandonner ces libertés essentielles.
Nous sommes donc au régime suivant : lever à 6 h 30 Déjeuner consistant
de la ration journalière de pain (officiellement 350 grammes, mais rarement
plus de 300 gr.) et d’un quart de jus de café. Départ au travail :
7 h. 15 (travaux de force tel que bûcheron, marais, routes). Rentrée vers
midi. Le repas du midi consiste en une soupe à base d’eau et de navets,
râves ou topinambours cuites à l’eau et servis sans appréciable addition
de graisses. Trois fois par semaine : un morceau minuscule de viande ou
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depoisson. Départ au travail : 13 h. 15 Rentrée vers 18 h. Repas du soir :
même chose qu’à midi à l’exception des matières grasses.
Le ravitaillement susdit, est, comme vous en jugerez vous-même, totalement
insuffisant pour des travailleurs deforce, et il me paraîtrait inutile
d’insister sur le fait que la population française, elle aussi, manque de
ravitaillement. Car le chef de groupe détient tous nos tickets d’alimentation
délivrés mensuellement par la mairie et ces tickets comprennent,
même en quantité supplémentaire légale pour travailleurs de force des
rations de beurre, defromages et d’autres denrées, dont nous ne voyons
que les caisses entreposées au magasin sans que leur contenu soit proprement
distribué. Il est un fait, que les dirigeants français du groupe vivent
sur nos rations et récemment ces cadres français ont même obligé certains
de nos membres à leur trouver au marché noir certaines denrées introuvables
sous menace de leur retirer des permissions de week-end pour
Aix-les-Bains, Lyon, etc.
Sous ces conditions, j’ai l’honneur de solliciter de votre bienveillance, de
vouloir bien désigner un délégué de la Croix-Rouge pour but d’amorcer
une enquête et une amélioration des conditions désastreuses, sous lesquelles
les membres de ce groupe, simplement parce qu’ils sont de religion
israélite, et contrairement à ce qui se passe dans d’autres camps de travail,
hébergeant des étrangers de religion catholique ou protestante, sont
obligés de vivre aux dépens de leur santé.
Infirmerie.
Celle-ci dirigée par l’un ou l’autre membre du groupe désigné
par le chef et soumis à son autorité incompétente en médecine, ne possède
rien qui, en cas de besoin,peut prévenir épidémies ou accidents. Le soussigné
même a récemment souffert d’un simple bouton qui, à défaut de traitement
a d’abord dégénéré en furoncle et ensuite en anthrax à la nuque.
Il a dû subir une intervention chirurgicale à l’Hôpital Civil
d’Aix-les-Bains, où le traitement fut des meilleurs, sous des conditions
sanitaires sans reproche. Le manque depansements, de médicaments, de
linge blanc, et même le manque d’eau potable dans l’enceinte du camp
font de l’infirmerie une épée de Damoclès suspendue sur nos têtes. » 42
Le régime disciplinaire de certains GTE s’avère particulièrement
répressif. Ainsi, « le GTE 706 à Aubagne (B.-du-Rh.) est un groupe disciplinaire.
» Le traitement qui y est infligé dépasse l’imagination, tant l’attitude
des chefs est cruelle et injuste « , note Israël Salzer, Grand Rabbin de Marseille,
après avoir effectué une visite à Aubagne. Au printemps 1942 deux
décès en l’espace de quelques semaines y sont signalés à la suite de brutalités
de la part des gardiens. » 43
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Il est difficile de déterminer avec exactitude le nombre de Juifs
internés dans les GTE. Toutefois, « à la mi-mai 1942, l’aumônerie générale
(Juive) connaissait l’existence de 31 compagnies » palestiniennes « .
Dans les prévisions de budget pour 1942, la Commission (juive) des
Camps précisait avoir en charge 12 000 internés israélites dans les Centres
d’hébergement, camps d’internement et hôtels de Marseille sans
compter les quelques 15 à 20 000 travailleurs étrangers israélites disséminés
dans de nombreuses formations de travailleurs étrangers en France
libre ».
La liste des GTE répertoriés par département, où sont regroupés
les travailleurs juifs en zone libre a été dressée dans Le calendrier de la
Persécution des Juifs en France à la date du 26 août 194244.
Le traitement aggravé réservé aux Juifs se confirme donc. « Au
sein de la panoplie des GTE, à tous les égards, ce sont généralement les
groupes dits » palestiniens » où l’on constate les conditions lesplus mauvaises.
» 45 Les groupes qualifiés « d’homogènes » – c’est-à-dire exclusivement
constitués de Juifs – « sont envoyés aux travaux lesplus dangereux
et les plus pénibles, aux poudrières, aux usines d’arsenic à Auzon
(Hte-Loire). Des ouvriers réguliers y avaient droit à des vêtements spéciaux,
à des douches et à un litre de laitpar jour. Les T.E. furent évidemment
exclus de ces avantages. Beaucoup y moururent. Quant à ceux qui
osèrent se révolter, ils furent envoyés dans des camps disciplinaires où l’on
ne travaillait pas mais où, en revanche, on ne mangeait pas non plus » 46.
Les durs travaux ne procurent pas de « privilèges » aux Juifs
puisqu’ils ne sont ni mieux logés, ni mieux nourris que les autres internés.
Sans compter que pour les tâches épuisantes qu’ils sont contraints
d’exécuter, il n’est pas obligatoire de leur verser un salaire, mais uniquement
une prime dite de rendement qui s’élève à trois francs par jour.
Cependant, la réalité est parfois bien différente et rares sont les travailleurs
qui reçoivent cette somme. Ainsi, « au GTE 302 à Septfonds (Tarn),
où vit un groupe presque exclusivement composé de Juifs allemands et
d’Europe centrale, les50 centimes ne sont pas versés. L’administration sur
place se réfère à un ordre qui serait venu du groupement n° 5 à Toulouse.
Dans tous les groupes, il est pourtant indispensable d’acheter de la nourriturepour
améliorer l’ordinaire. Ceux qui sont obligés de vivre avec l’alimentation
délivrée par les cuisines des camps perdent leurs forces en
l’espace de quelques mois » 47.
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Posséder quelque argent ne peut aucunement améliorer les
conditions de vie des travailleurs étrangers « car il était interdit à ces
hommes qui travaillaient durement pour la France, de faire des achats,
par égardpour lapopulation française. D’autrepart, les colis envoyés par
la famille étaient confisqués par le capitaine si ce n’est par l’adjudant, et
le censeur s’emparait des tickets de pain contenus dans les lettres » 48.
Les Juifs internés dans certains GTE étaient contraints de payer
une certaine somme qui correspondait aux frais d’internement.
« Ces Israélites ne doivent pas se disperser et sont obligés de travailler
en groupes, ils n’ont pas de liberté, sont sous régime quasi militaire
et à la merci du Commandant du Groupe entre les mains duquel passe
tout leur argent, ainsi que leur matériel. En outre, depuis 18 mois, chaque
ouvrier est tenu de verser une certaine somme pour frais d’administration,
assurance sociale, nourriture, etc. Les personnes qui emploient ces
travailleurs doivent payer au minimum 2 fr. – par jour, à part les
280 francs qu’elles doivent verser chaque mois pour le privilège d’avoir les
ouvriers en question. Cet argent est en principe destiné à la caisse de la
compagnie. » 49
Ces diverses circonstances génèrent une dégradation sanitaire.
« Dysentrie, cardiopathie, phtisie galopante, oedème de carence,
hernies, lésions cutanées infectées. En loques, sans chaussures, les pieds
entourés de chiffons ou de morceaux de vieux pneus, les hommespeinent
aux besognes malsaines. Ils sont en proie aux poux. On ne leur donne pas
de désinfectants, mais l’administration veille aux intérêts de l’État. Ainsi,
nous avons eu sous les yeux la note administrative suivante d’un G.T.E. :
» Les travailleurs étrangers porteurs de poux seront rasés sur le corps
entier. Les poils ainsi obtenus seront conservés, soigneusement triés et
remis au dépôt… ». » 50
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Tiens ,tiens,le journal de bobo Marianne prendrait la défense d’Israël après avoir pendant des années contribué à le mettre au ban des nations et ainsi à faire monter l’antisémitisme ?
Alzheimer doit guetter ses journalistes
Et Israël à se poser encore et toujours en victime après avoir joué les grands cœurs en sauvant médicalement des palestiniens, en envoyant des tonnes de nourritures et de ciment au hamas, qui servent à la construction de tunnels pour tuer les israéliens.
C’est évident depuis Oslo et avant, que Les « palestiniens veulent faire disparaître Israël: Abou Mazen est le digne continuateur de son prédécesseur criminel.
Tout le monde sait que l’apartheid (et l’esclavage), ce sont les arabes qui l’ ont toujours pratiqué, et le pratiquent toujours de nos jours sinon ils ne connaîtraient même pas le mot; toutes les expulsons, massacres et autres réjouissances de juifs dans les pays arabes ont été des réalités qui ont contribué au retour des juifs sur la Terre d’Israël; y-a-t-il un seul juif en pays arabes? On ne comprend pas la résistance d’Israël pour ne pas nommer ces abjections, clamer haut et fort à la face du monde ces vérités qui crèvent les yeux; peut-être Israël méprise-t-il tout bonnement ce qui s’est passé envers les juifs,en pays arabes, Alors faudrait pas s’étonner qu’il devienne dhimmi à nouveau: il faudrait construire un mémorial des martyrs des juifs en pays arabes et le faire visiter à tous les chefs de gouvernement qui viendraient en Israël, au même titre que Yad Vachem et expliquer pourquoi les juifs orientaux et sépharades ont toujours été si peu nombreux, si ce n’est à cause des massacres continus et réguliers depuis le Haut Moyen Âge;la tolérance musulmane n’est qu’une tolérance qui couvre son mépris et sa violence fanatiques, cela fermerait le clapet Isolent de BDS et de l’ONU
c est juste faire un Yad Vachem pour les sefardi de meme maniere il i a pour l Europe.
Bds ce sont une équipe d’antisémite !!!! un tas de merde !!!!!!!
J’appelle toutes les bonnes volontés à lutter contre l association révisionniste et négationniste BDS
LUTTONS pour rétablir la VÉRITÉ !
Le peuple palestinien n’existe pas!
Le peuple juif est chez lui en terre d’Israël !