Le Premier ministre canadien Justin Trudeau a annoncé lundi l’arrêt des frappes aériennes contre Daesh en Irak et en Syrie, jugées comme une stratégie à court terme. Les frappes aériennes sont utiles pour obtenir « à court terme des avantages militaires sur le terrain » mais n’assurent nullement « une stabilité pour les populations locales sur le long terme », a expliqué le nouveau Premier ministre canadien.

Une vengeance inutile
« Les populations terrorisées quotidiennement par Daesh n’ont pas besoin de notre vengeance, elles ont besoin de notre aide », a-t-il ajouté, indiquant que le retrait des chasseurs F18 serait effectif dès le 22 février.
Une aide humanitaire conséquente
Justin Trudeau a donc respecté sa promesse électorale en mettant un terme aux frappes contre les djihadistes en Irak et en Syrie aux côtés des avions de la coalition internationale emmenée par les Etats-Unis.
Par ailleurs, le Canada va augmenter son aide au développement et humanitaire. « Sur les trois prochaines années, nous allons investir environ 1,6 milliard de dollars canadiens (un milliard d’euros) en réponse à la crise en Irak et en Syrie, mais aussi pour répondre aux conséquences en Jordanie, au Liban et dans l’ensemble de la région », a estimé le ministre des Affaires étrangères Stéphane Dion.
Une surveillance aérienne maintenue
Ottawa va toutefois « tripler le contingent » de ses forces spéciales dédiées à la formation dans le nord de l’Irak, alors que 69 membres des forces spéciales canadiennes sont dans le nord de l’Irak depuis 2014 et que 600 militaires canadiens avaient été déployés pour appuyer les moyens aériens.
Le ministre de la Défense Harjit Sajjan a annoncé le maintien des deux avions de surveillance Aurora chargés de repérer les positions de l’EI pour le compte de la coalition. Au total, ce sont 830 militaires qui sont déployés en soutien à ces opérations aériennes.
Le Parlement, selon Justin Trudeau, est appelé à voter la semaine prochaine sur le nouveau plan d’engagement canadien prolongé jusqu’au 31 mars 2017.
Source 20 minutes
Le Canada est terre pislamic
Une politique étrangère nulle
Justin n’est pas à sa place comme first minister
Cette politique le conduirait à sa perte
les divergence entre divers pays usa-europe et moyen orient, permettra des différent organisation terroriste sortire de terrer comme des champignon, et ca vien de problème économique de chaque pays